Jésus a disparu, caché par la nuée lumineuse qui l’enveloppa. Ses pieds divins sont restés gravés dans la pierre. Et les Apôtres, les Disciples, les Saintes Femmes, et Marie Elle-même s’attardent à regarder… Il faut l’apparition des deux Anges vêtus de blanc, pour leur faire comprendre que tout est bien fini.
Tandis que la grande fête du Ciel commence, il reste à ceux d’ici-bas l’espérance. Combien de jours durera l’attente pour Marie ? Peut-être Jésus le lui a-t-il dit, peut-être aussi n’en sait-Elle rien ? Qu’importe ? Elle attendra en espérant.
Le ciel viendra aussi pour moi. Est-ce que j’y crois assez fermement ?
Espérer, espérer quand même, espérer toujours,
alors que les ténèbres du doute voudraient m’envelopper,
ô ma Mère, vous savez que c’est difficile parfois.
Aidez-moi cependant, non seulement à vivre,
mais à rayonner ma ferme espérance en Dieu.
Auprès de Marie, réciter avec ferveur l’Acte d’Espérance.